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2014 – Musée des beaux-arts de Brest

Bruno Peinado, Mourenx sans titre, 2009, sérigraphie, 35 x 50 cm.Collection artothèque du musée des beaux-arts
Bruno Peinado, Mourenx sans titre, 2009, sérigraphie, 35 x 50 cm.Collection artothèque du musée des beaux-arts

Nouvelles acquisitions : prêtes à emporter !

Du 25 novembre 2014 au 18 janvier 2015

 

L’exposition propose de découvrir un aperçu des dernières estampes et photographies intégrées dans la collection de l’artothèque, qui compte 950 œuvres et s’enrichit chaque année.

 

Avec des œuvres de Virginie Barré, Bruno Peinado, Charles Fréger, Malik Sidibé, Stéfan Tulépo, Camille Girard et Paul Brunet.

Nicolas Uriburu, L'Insecte et la chute d'Iguazou, 1975, lithographie, 76 x 66 cm, collection artothèque du musée des beaux-arts de Brest
Nicolas Uriburu, L’Insecte et la chute d’Iguazou, 1975, lithographie, 76 x 66 cm, collection artothèque du musée des beaux-arts de Brest

Art et nature

Du 9 septembre au 23 novembre 2014

 

Depuis les années 1960, beaucoup d’artistes ont quitté l’atelier pour investir la nature. Ils interviennent directement sur le paysage et établissent des rapports nouveaux entre l’art et la nature qu’ils considèrent non plus comme modèle mais comme support ou matériau. Une réflexion nouvelle s’amorce alors sur l’environnement, sur l’espace et le temps notamment grâce au land-art. Ces œuvres extraites de la collection de l’artothèque, proposent de faire découvrir une sélection de regards autour de ces notions.

 

Avec des œuvres de Jean-Yves Brelivet, Bruni / Babarit, Andy Goldsworthy, Hamish Fulton, David Ryan, Nils Udo, Nicolas Uriburu.

Julien Gorgeart. Playtime, 2014. Aquarelle, 49,5 × 37,5 cm
Julien Gorgeart. Playtime, 2014. Aquarelle, 49,5 × 37,5 cm

Julien Gorgeart, Une histoire vraie

Du 14 mai  au 31 août 2014

 

Soucieuse de prolonger sa mission de soutien à la jeune création, l’artothèque propose une carte blanche à Julien Gorgeart. Dans le cadre du partenariat initié avec Base,  projet mené par Documents d’Artistes Bretagne et L’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne qui  diffuse sur internet les productions de récents diplômés de l’EESAB, ce rendez-vous annuel propose de porter un regard sur les pratiques contemporaines du dessin.

À travers l’aquarelle ou l’huile sur toile, la démarche de Julien Gorgeart décline le thème du vestige ou de l’accident qu’il investit dans des scènes du quotidien.

La profusion des détails, la précision du trait, la maîtrise des couleurs confèrent une sensation d’hyper réalisme qui opère un rapprochement troublant avec la photographie.

À l’artothèque, l’artiste présente un ensemble d’aquarelles inédites produites pour l’exposition. Il s’aventure même au sein de la collection permanente du musée en livrant une interprétation toute personnelle d’œuvres classiques.

 

Né en 1979, diplômé de l’École Supérieure d’art de Quimper en 2010, Julien Gorgeart vit et travaille à Rennes. http://www.juliengorgeart.com

 

En partenariat avec BASE, un projet mené par  Documents d’Artistes Bretagne et L’École Européenne Supérieure d’Art de Bretagne. http://base.ddab.org/julien-gorgeart

Hans Hartung, sans titre, 1977, eau-forte. Collection artothèque du musée des beaux-arts
Hans Hartung, sans titre, 1977, eau-forte. Collection artothèque du musée des beaux-arts


 De la trace au signe

 

 Du 21 janvier au 20 avril 2014

 

Avec des œuvres d’Olivier Debré, Noël Dolla, Jean Dubuffet, Hans Hartung, Christian Jaccard, Jean-Pierre Pincemin, Pierre Soulages, Pierre Tal Coat,  Antoni Tapies, Henri Michaux, Jan Voss, Bertrand Vivin, Zao Wou Ki

 

Significatifs de la période abstraite après-guerre en France,  les thèmes de la trace et du signe sont représentés dans la collection de l’artothèque à travers des œuvres d’artistes emblématiques tels qu’Olivier Debré, Jean Dubuffet, Hans Hartung ou Zao Wou-Ki.  Prolongé par les membres du groupe supports-surfaces dans les années 70 à l’aide d’un processus de déconstruction du tableau, les recherches sur la trace et l’empreinte renvoient à des gestes primitifs et à des techniques ancestrales. Si ces artistes sont très divers, beaucoup ont en commun de livrer des signes  qui incarnent l’écriture de leurs émotions et de leurs pensées. Au spectateur de les décrypter.